En refusant d'augmenter les salaires, les pensions de retraite et les minimas sociaux, le gouvernement entend faire payer le coût de l’inflation aux plus modestes afin de préserver et conforter à n’importe quel prix les bénéfices records des plus riches.
Pire, peu avare de provocations, le chef de l’État maintient sa funeste contre-réforme pour faire travailler les salariés encore plus longtemps, avec une incertitude sur l’age légal de départ à la retraite qui fera surement l’objet de tractations et de vils marchandages avec les autres groupes de l’assemblée nationale favorables au même projet de société.
Mais dans beaucoup d’entreprises, la colère monte et les débrayages s’enchaînent, car les patrons, et singulièrement ceux des grands groupes, refusent d’augmenter les salaires. Les dernières NAO (Négociations annuelles obligatoires) portant essentiellement sur les salaires, ont aboutit à des "concessions"souvent insignifiantes et très éloignées des pertes de pouvoir d’achat subies par les salariés.
Depuis plusieurs mois, l'Union syndicales Solidaires mène une campagne avec d’autres pour porter les revendications collectives a plus haut sommet de l’État. Il est maintenant temps de passer la vitesse supérieure, c’est pourquoi Solidaires propose la date du 29 septembre pour réussir une grande mobilisation interprofessionnelle réunissant salariés, retraités et précaires afin de créer un rapport de force suffisant dès la rentrée.
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